Moi au milieu sur la balançoire. Ça balance, ça balance d’un côté à l’autre.
La modernité, le transport, la facilité.
Et de l’autre côté : retour à la nature. C’est tranquille.
Les animaux sont présents, omniprésents.
Je ne les vois pas, mais ils sont là.
Moi un milieu qui se balance, qui se balance entre modernité et retour aux sources.
La balançoire pas un hasard ? – ça balance entre
prendre un avion et trier les déchets.
polluer avec une voiture et faire du bien à la nature.
Les allers et retours constants.
Deux mondes
qui se marient,
qui se rejoignent,
qui cohabitent,
qui se nourrissent les uns des autres.
Le monde qui n’est que UN. Un seul dans lequel la modernité et la terre cohabitent.
Il n’y a pas de binaire à cet endroit. On ne peut pas faire soit l’un soit l’autre. Nous faisant toujours les deux.
Quand j’enrichis l’un, j’appauvris l’autre – et vice versa.
Donc ce n’est qu’un, c’est la voix du milieu qui me permet de poser chacun de me, actes chacun nos projets – en épousant les deux extrême.
Ce n’est pas binaire, c’est.